Marie-Louise Bouthreuil, fille ainée d’Hortense Cauderlier et de Paul Bouthreuil est née le 21 janvier 1863.
Et elle est née où ? A Néhou où son papa Paul Bouthreuil est percepteur des droits directs, nous dit son acte de naissance.
Elle épouse Charles Lagouche à Picauville le 8 décembre 1888.
Voir l’acte de mariage Lagouche-Bouthreuil.
Charles lui est né le 13 mai 1861 à Valognes. Voir son acte de naissance.
Ils ont assez rapidement 5 enfants :
– Charles né en 1889, dit l’Oncle Charles, qui restera célibataire et dont nous parlerons donc plus bas,
– Paul Raphaël né le 19 janvier 1891, une découverte d’archives (aurait-il eu une vie assez brève ?)
– Suzanne, née en 1892, ma grand-mère paternelle qui se mariera avec son petit-cousin André Cauderlier et que l’on retrouvera donc en génération 3.
– Tante Madeleine, pour l’état-civil Madeleine Augustine Marie Lagouche, née le 13 décembre 1896 à Granville. Elle est employée au ministère des Finances lorsqu’elle épouse le 19 juillet 1926 à Paris 18ème Armand Gaston Victor JACQUEMIN 1891-1974 (Parents : Victor JACQUEMIN 1860-1943 & Marie Eugénie Rosine NAUROY 1864-1935) dit Oncle Gaston. Elle décèdera le 11 février 1989 à Lagny-sur-Marne (77). que l’on retrouve en G3.
– Oncle Marcel né le 13 juillet 1893 à Granville qui épousera Tante Jeannette Desbrosses née en 1900 à retrouver également en G3.
Charles Lagouche, père de cette famille nombreuse décède assez jeune laissant Marie-Louise seule à la tête de cette grande tribu.
Comme l’Oncle Charles est photographe, et que de nombreux clichés sont restés dans sa maison de campagne à Dennemont, la vie de cette famille est très documentée photographiquement.
Mais nous ne connaissons que deux photos où sont présents tous les membre de cette famille sans exception.
La seconde c’est Marcel Jacquemin qui nous l’a montré pour la première fois il y a quelques années déjà et je suis content d’en avoir retrouvé un tirage original à Dennemont.
Devant leur Hôtel Restaurant L’Etoile à Caen vers 1906
A compléter avec le recensement de Caen.
Puis la venue à Paris 3ème puis 18eme
Les années à Auvers.
Le retour à Paris
Les deux ainés vont assez vite travailler notamment pour le journal L’Auto, l’ancêtre de L’Equipe.
